lundi 19 octobre 2009

Merci à tous !

Christian Lévesque et son équipe tiennent à remercier tous les militants qui ont contribué à la campagne!
Quelques mots de Christian :
''Merci à tous ceux qui m'ont encouragé et appuyé lors de cette course à la direction. Nous venons d'écrire un chapitre, mais l'histoire de l'ADQ en comporte beaucoup d'autres. Un merci tout spécial aux bénévoles de partout au Québec qui se sont investis corps et âme pour promouvoir notre parti.''

vendredi 16 octobre 2009

Les appuis pour Christian Lévesque se multiplient !

Après avoir reçu ces derniers jours l'appui de Michel C. Morin (vice-président de l'ADQ), Guy Pilon (Adéquiste de longue date et impliqué au niveau organisationnel) et Jean Domingue (ancien député), voici que les appuis se multiplient dans la blogosphère !
En voici quelques uns:


Agora.Québec

Le Québec de Sébastien

Politique au Québec

Politiquement correct

Blogue de Suzanne Doré

jeudi 15 octobre 2009

Christian Lévesque avec Benoit Dutrizac au 98.5 FM !

Pour écouter, cliquez sur l'image:

Un nouvel appui pour Christian Lévesque :Guy Pilon !











Guy Pilon vient de donner son appui à l'Équipe Lévesque. Voici la lettre qu'il a écrite:

Pourquoi Gilles Taillon n’a plus mon vote !
Le 8 décembre dernier est une date bien triste à mon calendrier : L’ADQ récoltait de piètres résultats et Mario Dumont quittait son poste de chef de l’Action démocratique du Québec.
Vint le temps des bilans. Celui aussi de se remémorer les nombreux souvenirs accumulés. La politique est un jeu féroce. Mais une évidence s’impose : pour de nombreux militants adéquistes mais surtout, pour ceux qui y sont depuis si longtemps, l’ADQ, c’est comme une deuxième famille.
Ai-je pensé baisser les bras ? Je mentirais si j’affirmais que non. Mais après une semaine de désolation, un seul constat revenait sans cesse. Pouvions-nous laisser l’Assemblée nationale revenir au bipartisme et balayer, du revers de la main, tout le travail accompli ? Pouvions-nous laisser de côté les milliers de citoyens qui nous avaient fait don de leur confiance ? Évidemment que non.
Je suis un homme de défis. Et j’ai pris la décision de m’investir dans ce parti pour lequel j’ai une affection sans borne. La précampagne amorcée, j’ai donc donné mon appui à Gilles Taillon. Par son expérience, par sa notoriété, par son leadership, je croyais Gilles Taillon capable de relever l’ADQ. Évidemment, par mon implication au sein de ce parti, je suis particulièrement sensible à l’importance de la notion d’organisation et surtout, de la nécessité de réunir un maximum de personnes autour d’un projet commun. Il n’y a rien de plus précieux que les membres au sein d’un parti. Il n’y a rien de plus important que la notion de rétention des troupes au sein d’une formation politique. Pour moi, il est primordial de savoir additionner et non soustraire.
Au cours de la précampagne et au fil de mon implication au sein de l’équipe de Gilles Taillon, j’ai pu observer plusieurs comportements qui m’ont grandement déplu. L’ADQ a toujours attiré des personnes qui militaient par conviction et non pas par vengeance ou opportunisme. J’ai aussi été à même de constater que trop souvent, la condescendance était au rendez-vous. J’ai alors vécu un choc de valeurs. Aussi, je suis profondément convaincu que la victoire ne se mérite que par le travail acharné. Le prochain chef doit participer lui-même à ce travail. En être partie prenante et non pas mandater d’autres personnes pour le faire à sa place et ce, bien que ces mêmes personnes soient de grande valeur.
Pendant ce temps, un autre candidat, Christian Lévesque, s’attelait résolument à la tâche. Homme d’affaire prospère, charismatique, rassembleur, il n’a fermé la porte à aucun membre. Il n’a répété qu’une seule chose : « Laissez-moi vous prouver que je mérite ce poste ». Car oui, ce poste se mérite. Il a fait exactement ce qu’il fallait et ce, tout au long de cette campagne. Croyez moi, au départ, je ne croyais pas à la capacité de Christian de devenir chef de parti mais, il s’est entouré de personnes de très grande qualité et d’expérience, il a présenté un programme sérieux, basé sur celui de 2007 mais enrichi de plusieurs bonnes idées. Il a unifié, rassemblé, cumulé les heures de travail. Il s’est présenté dans tous les événements associatifs ou d’importance au Québec. Par ce geste, il nous a prouvé qu’il pouvait remplir cette fonction (il a déjà commencé) et il nous a également démontré l’étendue de son réseau de contacts. Il nous a proposé un programme tangible pour rebâtir l’organisation de ce parti et l’amener à relever tous les défis qui nous attendent lorsque la prochaine campagne électorale sera à nos portes.
Mais le point le plus important de tous, à mon avis, c’est que, pendant toute cette course, Christian Lévesque, contrairement à Gilles Taillon et son équipe, a mis les intérêts du parti devant ses intérêts personnels. C’est pour cette raison, entre autres, que nous ne l’avons pas vu se laisser entraîner dans la joute des attaques personnelles. Christian Lévesque avait un plan : faire briller l’ADQ et nous prouver qu’il avait la capacité de la diriger. Il a réussi ce défi haut la main.
Était-ce possible pour moi de donner mon appui à Éric Caire ? Malheureusement, non. Les idées politiques d’Éric Caire sont beaucoup trop loin de ma vision du Québec. Trop distancées de la nature profonde de l’ADQ. Mais je n’ai aucun doute qu’une partie de sa vision pourrait très bien s’intégrer au programme préconisé par Christian Lévesque. C’est de cette façon que nous arriverons avec la meilleure plateforme électorale. Une nouvelle option pour le Québec, un vrai projet, une cause pour rallier et motiver la population.
Christian Lévesque a une importante longueur d’avance sur les capacités d’Éric à organiser, financer, et réseauter ce parti. Au cours des prochaines années, c’est sur le terrain que l’ADQ doit se reconstruire. Avec Christian Lévesque comme chef et Éric Caire comme leader parlementaire, l’ADQ aura là une combinaison gagnante.
Certains vous diront qu’avec Christian Lévesque, l’ADQ n’aura plus d’attention médiatique. Aucun des candidats aura la couverture idéale dès le début de son mandat. La situation actuelle de l’ADQ est difficile et les intentions de vote sont au plus bas. Nous devons tout rebâtir.
Je suis persuadé que l’attention médiatique est une chose qui se mérite. Elle n’est pas acquise pour personne, peu importe le nom de cette personne. Une bonne dose de créativité, un travail acharné et de tous les instants, un parti dont les membres sont unis et motivés, un programme solide, une action en chambre concertée avec notre équipe en place, tout ça fera en sorte que nous pourrons tirer notre épingle du jeu. Surtout, je peux aussi vous assurer qu’avec Christian Lévesque chaque membre aura sa place au sein de ce parti.
Comme plusieurs, j’ai le sentiment que notre prochain chef devra jouer un rôle de bâtisseur et être rassembleur. Ce sont des valeurs que je retrouve en Christian Lévesque. Le prochain chef en sera un de transition. Si nous établissons et respectons notre projet de société, l’ADQ vivra encore longtemps. Faisons nos devoirs. C’est en les faisant que l’ADQ saura attirer les médias et susciter l’intérêt de véritables candidatures de haut calibre. Christian est le premier à le reconnaître et c’est tout à son honneur. Il est là et acceptera le mandat qui lui sera confié. Rebâtir et faire briller l’ADQ. Et avec ce qu’il m’a démontré, je suis plutôt confiant que ce sera lui notre candidat vedette pour gagner la prochaine élection.
Au lendemain de cette course à la chefferie, il sera primordial de rassembler toutes les forces en présence. Et en attirer de nouvelles. Seul Chritian Lévesque peut, selon moi, relever tous les défis qui nous attendent.
Le 18 octobre prochain, Christian Lévesque aura mon vote.

Guy Jr. Pilon
Membre de l’ADQ

mercredi 14 octobre 2009

L'ex-député de Bellechasse, Jean Domingue appuie Christian Lévesque‏


L'Équipe Lévesque compte un nouvel appui. Voici le communiqué de l'ex-député Jean Domingue:

St-Henri, le 14 octobre 2009

J’ai suivi avec attention la course à la direction de l’Action démocratique du Québec, et ce, depuis le début. Suite aux débats, suite au dépôt des différentes plateformes par les candidats, une question demeure en suspens : qui sera le plus apte à relever l’ADQ ?

Avant de prétendre vouloir gouverner, ne serait-il pas plus sage de se concentrer d’abord à bâtir un parti solide ? Les membres sont la base d’un parti politique. Lorsque des gens veulent adhérer à l’ADQ, mais que ce parti n’est même pas en mesure d’envoyer les cartes de membres avant 6 mois, cela démontre un sérieux manque d’organisation interne qu’il faut corriger, et rapidement.

Réorganiser le parti au niveau national, se donner des assises solides dans chacun des 125 comtés, rassembler et inspirer les adéquistes pour un Québec plus prospère, plus autonome et plus responsable. Il est là le travail du prochain chef de l’ADQ. Il sera celui qui devra mener notre parti à bon port et diriger une traversée qui, probablement, comportera plusieurs escales.

Pour relever l’ensemble des défis qui attend l’ADQ, nous devons choisir dès maintenant un homme avec une volonté ferme qui saura amener les gens à travailler ensemble. Mon vote ira donc à Christian Lévesque, le candidat qui a démontré tout au long de cette course sa volonté de travailler en équipe et surtout, de manière constructive.

En espérant que les membres adéquistes, et principalement les militants de Bellechasse, soient nombreux à voter pour Christian Lévesque les 16, 17 et 18 octobre prochains.

Cordialement,

Jean Domingue
Ex-député de Bellechasse

lundi 12 octobre 2009

Un autre appui d'importance pour Christian Lévesque !

Michel C. Morin , vice-président de l'ADQ, vient de formellement donner son appui à Christian Lévesque !

Voici son communiqué:


Samedi, le 10 octobre 2009
Course à la chefferie
J'ai décidé d'appuyer Christian Levesque dans la course à la chefferie de l'ADQ.
Rebâtir le parti
Christian a clairement annoncé que sa priorité sera de consolider le parti.
Au-dessus de la mêlée
Pendant les moments difficiles de cette course, M. Christian Levesque a été le seul qui ait évité de participer à une guerre fratricide.
Savoir s'entourer et écouter
Christian Levesque saura écouter et s'entourer pour la prise de décision et l'avenir du parti. Les différentes instances du parti seront appelées à contribuer selon leurs responsabilités respectives.
La vision politique
Christian Levesque va mettre à jour la vision politique de l'ADQ en prenant en considération les idées provenant de toutes les forces vives du parti.
Christian Levesque mérite notre attention et notre appui.
Michel C. Morin
Vice-président de l'Action démocratique du Québec

samedi 10 octobre 2009

La dernière ligne droite




C’est avec détermination et énergie que nous abordons le dernier droit de la course à la direction de l’ADQ. La dernière semaine a été l’occasion de participer à deux débats télévisés : Dumont 360 et 24 heures en 60 minutes, à RDI. Comme tout au long de ma campagne, j’ai expliqué clairement et de manière simple quelles seront mes priorités comme chef de l’Action démocratique du Québec, et ce, sans jamais m’impliquer dans des querelles intestines.

1. Les vaches sacrées
J’ai à cœur le développement du Québec, mais actuellement, force est de constater que notre société est paralysée par des « vaches sacrées ». Ce que j’entends par là, c’est qu’il existe des sujets tabous au Québec, des sujets dont il ne faut surtout pas parler. Une « vache sacrée », c’est quand ce n’est plus possible de discuter, que simplement évoquer la possibilité de faire les choses autrement provoque les foudres des tenants du statu quo. Et notre décor est encombré d’exemples. Financement du système de santé public. Culture de l’effort. Gestion laxiste dans la haute fonction publique québécoise. Démocratie syndicale. Cette situation a assez duré.

Pour résoudre les problèmes contemporains qui nous interpellent en 2009, je propose un leadership rassembleur.

Je souhaite continuer de m’entourer d’une équipe forte et d’une organisation solide. L’ADQ doit faire preuve d’ouverture. Nous avons besoin de toutes les forces de l’ADQ dans un premier temps, et de toutes les forces qui composent le Québec dans un deuxième temps pour amener les changements nécessaires.

2. L’avenir de l’ADQ
Lors du débat à l’émission Dumont 360, j’ai souligné l’importance pour l’ADQ de rebâtir notre parti sur le terrain. C’est d’abord par le soutien des citoyens que l’ADQ pourra revenir à l’avant-scène de la politique québécoise. Le parti doit avoir une vie intense, avec des échanges et débats qui nourrissent la mobilisation des membres : arrimage des travaux de l’aile parlementaire et des instances; priorité à l’organisation et aux communications; collégialité (chef, comité exécutif et caucus des députés).

À Québec, nos six élus forment une excellente équipe parlementaire qui défend haut et fort les valeurs de l’ADQ. Une fois élu chef, je serai un joueur de plus pour faire le travail colossal à l’extérieur du parlement. J’ai démontré dans cette campagne ma capacité de rassembler les gens. L’Équipe Lévesque a été la plus dynamique avec plus de 800 nouveaux membres adéquistes inscrits. Je peux vous assurer que le 19 octobre, je serai sur le terrain pour continuer à rebâtir le parti partout au Québec, augmenter le membership et le financement et structurer les exécutifs de circonscription.

3. L’avenir du Québec

L’avenir du Québec passe par la responsabilisation du gouvernement et des individus. Lorsque l’on compare le Québec aux autres provinces et États de l’Amérique du Nord, nous constatons que nous sommes devenus pauvres. C’est pour cela que je vous propose de nous employer à créer de la richesse pour nous retrouver en position de force par rapport à Ottawa.

Dans mon agenda autonomiste, je veux garder un pouvoir de négociation. Je souhaite régler et endiguer le pouvoir du fédéral de dépenser dans nos sphères de juridiction comme la santé, l’éducation et les infrastructures. Je veux aussi accroître le rôle du Québec dans les institutions internationales et développer une meilleure concertation entre les provinces et le fédéral.

Et qu’est-ce qu’un autonomiste? C’est quelqu’un qui va toujours maintenir les intérêts du Québec dans un rapport de force qui lui est favorable. Un fédéraliste est quelqu’un qui ne remettra jamais en question le régime fédéral. Pas moi. Un souverainiste est quelqu’un qui ne sera jamais satisfait du régime fédéral. Ce ne sera pas mon cas non plus.

4. L’administration publique : la colonne des dépenses

De façon générale, pour reprendre le contrôle des finances publiques, il faudra mettre fin à la spirale libérale-péquiste d’augmentation incessante des revenus de l’État par les taxes, les tarifs et les impôts. Il faudra que gestionnaires et élus apprennent à maîtriser plutôt la colonne des dépenses. Avant de songer à demander encore un effort supplémentaire aux contribuables québécois déjà les plus taxés en Amérique du Nord, le gouvernement a la responsabilité de scruter d’abord ses propres dépenses.
La solution à notre situation catastrophique, sur le plan de la santé, de l’éducation et de notre énorme endettement collectif passe par la remise en question des vaches sacrées. Je vous invite à consulter mon programme politique pour en savoir davantage sur les solutions que je propose.

J’ai acquis dans mes expériences de gestion dans le privé, et comme membre du CA puis comme président de la Chambre de commerce de Lévis, les habiletés essentielles d’une saine gestion. D’autres vous diront que l’expérience de cadre dans de grands organismes publics est la plus pertinente pour gérer le Québec. Je ne suis pas d’accord. Ces gens ne sont guère préparés à prendre des décisions, parfois douloureuses, car ils n’ont jamais bâti une entreprise, mis en jeu leurs propres deniers et senti que du succès de leurs décisions dépend le sort d’êtres humains et de leur famille.

Je vous encourage à discuter de ces questions dans votre entourage et à inciter vos proches à exercer leur droit de vote au plus tard le 18 octobre. L’avenir de l’ADQ et du Québec en dépend.


Christian Lévesque
Candidat à la direction de l'Action démocratique du Québec